Etudes de cas – Aide à l’émergence de projets

Depuis le lancement de l’animation « eaux pluviales » par le Syndicat Marne Vive en 2019, plusieurs collectivités ont manifesté leur intérêt à lancer une démarche de gestion intégrée des eaux pluviales sur leur territoire, afin de répondre à des enjeux multiples : réduction du ruissellement et du risque d’inondations, désimperméabilisation et création d’îlots de fraîcheur en ville, végétalisation et plantation de l’espace public…

Afin de les encourager dans leurs dynamiques, le Syndicat Marne Vive a produit en 2022, avec l’aide du bureau d’études Urban water, 6 fiches actions et 4 études de cas sur des secteurs à fort potentiel de désimperméabilisation et de déconnexion des eaux pluviales.

Les sites d’études sont localisés sur différents secteurs du territoire du SAGE Marne Confluence et concernent des typologies d’espaces variés : place, gymnase, voirie, etc. Le but de la démarche est de permettre à chaque porteur de projet du territoire de découvrir les possibilités offertes par ces espaces pour intégrer l’eau en ville et s’en inspirer.

Le principe des « fiches actions » et des « études de cas » consiste à :

  • définir les enjeux, les usages, les contraintes et opportunités des sites
  • identifier les potentialités en termes de désimperméabilisation et/ou de déconnexion des eaux pluviales
  • estimer l’éligibilité de tels projets à des subventions

Les « fiches actions » sont une 1ère étape. Elles permettent d’ébaucher de premières pistes de réflexion et d’aide à la décision. Voir exemple de fiche :

Les « études de cas » permettent d’approfondir l’étude du site et les propositions : visite du site, état des lieux hydro-géologique, analyse du cadre réglementaire, recommandations d’études complémentaires, propositions de scénarios d’aménagement intégrant la gestion des eaux pluviales pour différents niveaux de pluies, éligibilité et estimation de subventions.

Exemples d’études de cas :

Il est ici précisé que ces documents ne préjugent pas de la mise en œuvre des projets par les collectivités compétentes.

Le Syndicat envisage de poursuivre ce type de démarche en 2023.